lundi 25 février: dernière boucle infernale du sentier des falaises

Ce matin, nous avons décidé de faire la boucle manquante sur le sentier des falaises. Après un petit-dèj copieux, nous partons directement sur le sentier (sans passer boire notre café !). Nous garons la voiture près du point-de-vue de l'Anse Chapelle. Direction plein sud sur le sentier, au début facile sur un chemin caillouteux. Puis des sous-bois agréables et rafraîchissants, avant d'attaquer une descente accidentée (et sans fin !) vers l'Anse Piton. Nous contournons le Morne Personne, puis ce sera l'enfer sur un sentier surchauffé par les pierres blanches, qui grimpe qui grimpe, et n'en finit pas... Nous voici arrivés à St Aurens, sur la route goudronnée. Nous devrons marcher près d'une heure et demi, avant de pouvoir reprendre un chemin de champs pour rejoindre la voiture.

Les gens sont dégueulasses ! On trouve de tout au bord de la route: ça va de la canette de bière aux papiers gras, en passant par des sacs poubelles entiers (!) ou des cuisinières. Et ce ne sont pas les touristes qui jettent ça ! En plus des carcasses de voiture abandonnées ça et là, le tableau n'est pas très ragoûtant... Heureusement,cela ne se voit pas en conduisant sur la route, mais quand même !

Après 4 heures de marche (avec MC qui n'a plus de semelles, et moi qui a la cheville gauche qui me fait mal !), nous voilà enfin arrivés à la voiture. MC m'avait abandonné le long du chemin, me laissant seul rejoindre la voiture ! Nous allons à Capesterre, à "la galette" boire et boire, puis manger une salade. Puis ce sera sans aucune hésitation piscine, et repos sur les transats. En fin d'après-midi, nous allons tout de même boire un coup chez Jean-Paul, mais MC ne se sent pas très bien, sans doute un coup de chaud ! Retour à l'hôtel où elle s'allongera un moment. Le Doc nous a invité pour l'apéro, et nous faire visiter sa maison. Finalement, Naf et François nous retiennent pour souper. Naf cuisine parfaitement le poisson, cru ou cuit. Mais il est déjà 23h00, et MC n'en peut plus. Nous nous excusons auprès de nos hôtes, et allons nous coucher...